Pulau Kapas, île paradisiaque & farniente

17 - 19 août

Direction l'île de Kapas pour y passer trois jours, Pulau Kapas pour les Malaisiens, une petit morceau de terre aux plages paradisiaques.
Quelques heures de bus nous mènent jusqu'à Marang pour y prendre le bateau.

Descente du bus, le quart d'heure orientation.

Arrivée sur Pulau Kapas, lors de la traversée la couleur de l'eau est déjà prometteuse.

On débarque sur une belle plage, juste en face de la guesthouse que Mazlam a réservée pour nous auprès d'un de ses amis.

Après s'être installé à trois dans un chalet, on entreprend un tour de reconnaissance, on comprend vite que le programme sera 100 % farniente. Ici pas de magasins, pas de wifi... juste le strict nécessaire : à boire et à manger, avec en bonus plage et soleil.

Certaines plages sont accessibles par des escaliers donnant aux lieux des airs de promenade romantique. Un de ses endroits où il n'est pas bon de venir seul... ça tombe bien car Estelle et Caliopi ne sont pas du genre triste.

L'île compte une dizaine de plages.

Maisons suspendues avec vue de rêve.

Notre plage favorite, bien que pas très photogénique !

L'unique jetée.

Le décor n'invite à rien d'autre qu'à la paresse.

Les quelques terrasse de café n'invitent pas plus à l'activité.

On succombera donc à l'appel de la plage ! 

Fin de baignade, après la sieste, le soleil se couche, c'est l'heure de la douche, puis celle du repas.

Le planning n'est pas compliquė.

CHiLL OUT, FARNIENTE... à qui mieux mieux.

Note QG : le KBC, restaurant où Marion et Mélodie ont travaillé en cuisine, c'est aussi influencées par elles que nous avons mis la cap sur Kapas plutôt que sur les très touristiques îles Perhentian situées plus au nord.

Ici pas de transat mais carrément des lits...

On va passer des heures ici, pas toujours par paresse, parfois aussi par attente, comme un jour une heure juste pour payer. Les lieux sont victimes de leur succès. Beaucoup de personnel, notamment des occidentaux en halte dans leur voyage, mais une organisation étrange qui exaspère pas mal de touristes, mais on y revient toujours parce que c'est bon et qu'on aime le décalage culturel.

Après 15h plus rien à manger nulle part, on prend donc vite le rythme Kapas.

ACTIVITIES

On va tout de même s'activer un peu, et faire le tour de l’île en canoë, ce qui s'avérera d'ailleurs plus sportif et long qu'imaginé. On ne croisera d'ailleurs pas d'autres touristes aventureux, la plupart se contentant de rester sur les spots de snorkeling notamment à la recherche de tortues.

Possibilitė de plonger bien sûr, mais ça c'est un autre budget.

On optera donc pour le snorkeling qui laisse voir des merveilles, à portée de main, notamment autour de cette petite île dont on peut faire le tour à marée haute.

Dernier soir.

Et dernier coucher de soleil.

 Le lendemain matin, traversée en sens inverse, destination Marang.

Navette improvisée vers l'arrêt de bus.

Le trajet pour KL est long, les filles ont prévu d'y passer une journée avant leur vol de retour pour Paris.

Estelle nous fait une belle démonstration du look backpackeur en bus climatisé : on a tous un inconditionnel et inséparable sweat à capuche.

Le soir c'est session donation, lors du packetage les filles me ravitaillent en produits d'hygiène et beauté, un luxe de backpackeuse. Pas simple de trouver une crème non blanchissante par exemple, une crémé solaire qui inspire confiance...

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KUALA LUMPUR

20 - 24 août

Petit tour au quartier chinois, auquel je suis abonnée.

Un vieux malaisien nous fait rire après nous avoir proposé de nous prendre en photo.

Roti canai, l'heure indienne, en souvenir de Cherating.

Opėration selfie à Petronas, demande spéciale d'un de leurs amis.

Puis c'est l'heure de nouveaux aurevoirs pour moi... et l'occasion de découvrir une autre face, inattendue, des tours Petronas : jardins, plans d'eau et pataugeoire surveillée.

Petit détour dans un temple chinois dans le quartier de Pasar Seni où se situe ma guesthouse.

Après quelques jours à KL je reprends la route de Cherating... puis je mettrai le cap en solo sur une autre île : Pulau Tioman, cette fois-ci en direction du sud.