Mirissa se situe ici.
Demain lundi je prendrai la destination du sud, distance moindre, mais il serait dommage de ne pas prendre le temps de découvrir les autres plages, présentées comme les plus paradisiaques de l'île. Je vais tâcher de trouver une ambiance un peu plus authentique qu'à Hikkaduwa, où le public russe est omniprésent avec des motivations bien différentes des miennes et un rapport aux Sri Lankais plutôt désagréable, l'échange est également inexistant avec les autres touristes faute de maîtrise de l'anglais.
Destination Mirissa pour 3 nuits seulement, j'espère rencontrer ces fameux pêcheurs perchés.
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1h15 de bus, animé par des divinités hindou luminescentes grâces à des leds de toutes les couleurs, et un concert live retransmis sur la télé étonnamment existante dans ce bus.
Je voyage un instant à côté d'un tout petit bébé, et j'apperçois à deux reprises les fameux pêcheurs.
J'arrive dans une guest house toute réçente, ouverte il y a six mois, étant la 50ème guest je suis mitraillée de photos à chaque changement de place ou d'activité. Le tenancier tient très à jour un album de tous ses guests, j'y reconnaîs Peter rencontré à Colombo. Ce matin lever à 5h30 pour une expédition à la rencontre des baleines et des dauphins, et hop un petit cliché de plus.
Mirissa est bien plus petite que Hikkaduwa, j'apprends que l'unique distributeur automatique est installé depuis une semaine seulement, ce qui simplifie la logistique du touriste. L'atmosphère est bien plus tranquille et le public bien moins sophistiqué, parfait !
Flânerie d'après-midi au port oú les nombreux pêcheurs replient leurs filets.
Les bateaux colorés sont ici un standard.
Expédition baleines, dauphins, tortues, barracudas redondissant sur l'eau, tout le monde est là.
À l'embarquement sont proposés des comprimés pour le mal de mer, en effet ça tangue énormément, beaucoup de malades. Mais cela n'empêche pas de servir un copieux petit déjeuner à tous les passagers pendant toute la durée du voyage.
Queue de baleine bleue, plongeon après prise d'air, nécessaire environ toutes les 8 minutes.
Tortues de mer prises en photo par l'équipage.
Un peu plus loin, désertiques.
Flânerie dans le quartier d'habitation.
Sépultures boubbhistes, parsemées par-ci par-là.
Un de ces nombreux chiens qu'on ne caresse pas, généralement caput allongé n'importe oú en mode carpette.
Transat à la tombée du jour, à la marée montante les plus belles vagues viennent chatouiller les pieds.
Je croiserai plus tard plusieurs autres hôtes de Sarath, eux aussi pris en photo à maintes reprises, ma photo de départ n'est pas volée. J'envoie à Peter ses photos, ça le fait bien rire.
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